L'écologie, science des interactions entre organismes vivants, nous convie à examiner comment ces derniers s'envisagent l'un l'autre. C'est ce que j'ai étudié durant la première partie de ma carrière d'écologue, au cours d'une expérience tropicale de presque 20 ans. Mes recherches ont depuis davantage porté sur l'analyse de discours, récits et pratiques autour de notre représentation du vivant.
Je m'intéresse désormais au regard de l'Homme sur le vivant qui l'entoure, regard desservi par une vision mécaniste du monde. Je fais valoir mes connaissances d'écologue et de naturaliste, mais aussi les éclairages complémentaires qu'apportent la philosophie et la poésie. J'aspire à regarder les organismes vivants par-delà le seul survol analytique que propose la science. Les espèces invasives ont longtemps représenté mon modèle d'étude favori pour investiguer combien les sciences du vivant sont traversées de représentations culturelles déterminantes. J'y ai consacré deux livres : Plantes et animaux venus d'ailleurs : une brève histoire des invasions biologiques (2010, Ed. Orphie), puis La Grande invasion : qui a peur des espèces invasives (2014, Ed. O. Jacob).
Mon champ d'intérêt porte également sur la plante, forme exacerbée de l'altérité vivante. Comment regarder une plante sans y projeter notre représentation de nous-même ? Cela a été l'objet de l'écriture de À quoi pensent les plantes ? (2016, Ed. Odile Jacob), puis de Penser comme un arbre (2018, Ed. Odile Jacob)pour la rédaction duquel j'ai convoqué les apports des biologistes, mais aussi ceux des poètes et des philosophes.
Je m'intéresse enfin au regard que nous projetons sur la biodiversité ordinaire, forme de tiers-vivant qui invite à puiser à l'écopsychologie, sous ses formes non dévoyées et non idéologisées. Cette biodiversité est un substrat propice pour rétablir notre lien immédiat et sensible avec le vivant.
Les actions de conservation de la nature resteront inopérantes tant que nous ne restaurerons pas notre lien avec le vivant. Il s'agit de réapprendre à composer en immédiateté et en proximité avec un vivant de plus en plus virtualisé, modélisé, numérisé et idéologisé. Quatre grandes séries de facteurs s'opposent à l'expression de ce lien :
- une distanciation entre le vivant et nous opérée (i) par des principes d'éloignement biologique (éloignement phylogénétique, écart physiologique, etc.), mais aussi (ii) par une science devenue excessivement analytique et distanciée ;
- une déformation culturelle qui altère notre représentation des êtres vivants (projections mentales, leurre de la représentation numérique, rhétorique du trésor sur la biodiversité) ;
- un déficit de porosité sensible qui affaiblit notre lien naturel avec le vivant (dénigrement croissant des puissances complémentaires de l'entendement telles que l'intuition, la perception, l'expérience sensorielle, l'observation attentive) ;
- une disconnexion liée à nos nouvelles pratiques de vie nous éloignant du vivant (abandon des pratiques de contact avec le vivant au profit d'approches intellectuelles ou virtualisantes, report de la protection du vivant dans des espaces réservés, désapprentissage de l'art de composer avec le vivant).
Ces quatre axes structurent mon approche. C'est du dépassement de ces obstacles que peut résulter un regard réflexif permettant de nous reconnecter de manière sensible avec l'alter-vivant et de rétablir ce lien refoulé en nous.
En complément de cette approche professionnelle, dans le temps de l'intime et du privé, je me tourne volontiers vers mes inspirateurs privilégiés. D'abord Henri Bergson, merveilleux philosophe des ressorts les plus subtils propres à la vie. Puis Merleau-Ponty, pour son approche phénoménologique de la sensibilité au vivant. Ensuite Maurice Genevoix, grand écrivain des formes du vivant et des amitiés secrètes qui nous lient à elles, et auquel j'ai consacré trois ouvrages : Maurice Genevoix, survivant de 14 (2014, Ed. Orphie), Maurice Genevoix (2017, Ed. Pardes) et La Vie selon Genevoix (2018, Ed. Petit Pavé). Et puisque tout cela n'aurait guère de sens s'il ne prenait aussi une dimension toute concrète, j'anime des sorties pour le grand public vouées à l'écoute sensible des chants d'oiseaux ou à la découverte des arbres.
L'écriture poétique et romanesque viennent en appui de mon cheminement. En 2013, j'ai publié Forêt marronne (Ed. Orphie), allégorie de notre représentation de l'arbre et de la forêt tropicale, débarrassée des formats conventionnels, rendue à la liberté : une forêt marronne. Enfin, puisque toute mélodie est inhérente au temps du vivant et qu'elle lui donne une substance perceptible, mais aussi féconde et bienfaisante, je consacre une partie de mon temps à la pratique musicale.
CIRAD - TA 10/D - Campus international de Baillarguet - 34398 Montpellier Cedex 5 - France
Mail : jacques.tassin@cirad.fr
Chercheur écologue au CIRAD (Montpellier), habilité à diriger des recherches (HDR).
Expert auprès de l'IPBES (Intergovernmental Platform on Biodiversity and Ecosystem Services).
Membre du Groupe Biodiversité de l'Alliance nationale de recherche pour l'environnement.
Membre du groupe Espèces Invasives du Ministère de l'environnement, de l'énergie et de la mer.
Membre fondateur du réseau COADAPHT.
Rédacteur en chef Bois et Forêts des Tropiques.
Ingénieur en Horticulture (ENITHP Angers), reçu premier au concours d'admission parallèle.
Ingénieur en Agronomie tropicale (ESAT Montpellier), classé major de promotion.
Thèse d'écologie au Laboratoire d'écologie terrestre, Université Toulouse III Paul Sabatier, sous la direction de Jacques Lauga et l'encadrement de Gérard Balent, obtenue avec les félicitations du jury.
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(dernière mise à jour de cette page : 17 Janvier 2017 )
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